CPGE TSI Informations compémentaires

 

 

 

Les élèves caricaturent la prépa et ses idées reçues

 

 

 


Concours et résultats

Les concours en fin de deuxième année sont en deux parties. Des épreuves écrites à Toulon (dites d'admissibilité) qui font une première sélection, puis des oraux un peu partout en France (admission) au terme de laquelle s'effectue le classement final.

Il est à noter que même lors d'un entretien pour présenter une école sur dossier (donc hors concours), une admissibilité à un concours est un atout considérable.

En termes de résultats, le lycée Rouvière est nettement au-dessus de la moyenne nationale sur les concours CCP et Centrale. Ces dernières années, certains de nos élèves ont été admis dans des écoles prestigieuses telles que : les arts et métiers, Centrale-Supélec, Centrale Marseille, les Mines et à diverses écoles du groupe CCP. Ceux qui s'en donnent les moyens ont toutes leurs chances de réussir chez nous !

D'une manière générale, le taux d'intégration après la 2ème année de TSI (sur dossier et sur concours) est supérieur à 80 %. Il devient supérieur à 90%, si l'on tient compte des élèves qui refusent une école la première fois qu'ils passent les concours, et choisissent de redoubler pour obtenir une école correspondant mieux à leur souhait l'année suivante. Ce pourcentage d'élèves redoublant la deuxième année de TSI reste faible, inférieur à 15%.


livre d orLivre d'OR

  • Alan D. (promo 2016/2018) :
    Mon parcours : Je suis actuellement en dernière année de l’école ESIX en Normandie.
    Mon ressenti : J'aurais dû travailler plus sérieusement en prépa, mais je ne regrette absolument pas mon école ainsi que la possibilité d'avoir pu étudier à l'étranger (USA). Il ne faut pas avoir peur des écoles d'ingénieurs, certes le rythme est plus léger mais les cours sont parfois aussi complexes que certains cours de prépa !
  • Nicolas P. (promo 2016/2018) :
    Mon parcours : après un Bac sti2d option ITEC, j’ai fait une prépa TSI pour enfin intégrer l’école de méca SIGMA à Clermont.
    Mon ressenti : La prépa est une étape compliquée à passer, mais ne vous en faites pas, ça en vaut la peine ! La vie au sein d'une école d’ingénieurs est incroyable ! Associations en tous genres, vie étudiante, cours spécialisés, vous ne le regretterez pas ! Accrochez-vous !
  • Fabien L. (promo 2012/2014) :
    Mon parcours : après la Prépa, j'ai intégré l'ISEN (Institut Supérieur de l'Electronique et du Numérique) à Toulon. J'y ai passé 4 ans (j'ai redoublé le 1er semestre de ma 1ère année). Je me suis ensuite spécialisé en Électronique et Systèmes Embarqués pour les 4ème et 5ème années. J'ai passé ma dernière année en contrat de professionnalisation chez STMicroelectronics à Rousset (13), puis à l'issue de mon diplôme, j'ai été recruté par ALTEN, boite de prestation dans le numérique. Pour finir, je suis actuellement en mission sur Clermont-Ferrand, chez Hitachi Rail STS, en tant que chargé de vérification ferroviaire pour le projet LGV Paris-Lyon.
    Mon ressenti : je dirai que tout n'est qu'une question d'adaptation. Un ingénieur se doit d'être polyvalent et multi casquettes. Concernant la classe prépa, c'est certes difficile et parfois mal vécu par certaines personnes, mais avec de l'abnégation, le jeu en vaut la chandelle ! Elle nous apprend à apprendre et nous donne des automatismes dans les matières générales telles que les maths, la physique, la SI, qui nous servent en école d'ingénieur.
  • Emmanuel F. (promo 2015/2017) :
    Mon parcours : BAC STI2D spé SIN puis classe prépa TSI. Ecole d’ingé : INSA Toulouse Informatique et Réseaux spécialité systèmes communicants. Mon premier emploi : Ingénieur Systèmes et Réseaux chez NFrance
    Mon ressenti : Le gros avantage d’une prépa est la méthodologie de travail que l’on développe durant ces deux années. En effet, les professeurs nous accompagnent afin d’atteindre notre plus haut niveau pour avoir l’école de notre choix. Aucune porte ne se ferme avec la TSI, au contraire, on a la possibilité de choisir le domaine de notre choix que ce soit de l’informatique, de la mécanique, de la biologie ou bien d’autres domaines encore.
  • Marine J. (promo 2012/2014) :
    Mon parcours : Bac STL Science Techniques de Laboratoire puis Prépa TSI puis 3ème année d’école d’ingénieurs à l’ISAT (Institut Supérieur Automobiles et Transports), option Energie & Moteur à Nevers. Puis Licence 3 en Marketing & Communication en alternance
    et Master 1 & 2 en Marketing & Communication en alternance. Mon Poste actuel : Chargée de Marketing & Communication et Support Fleet depuis 2017 chez ID Telematics, spécialiste en collecte de données sur boitier télématique et voiture connectée.
    Mon ressenti : mes deux années de prépa ont été pour moi un support important en termes d’organisation, de travail, et d’esprit d’équipe. Car bien que ce soit un concours, l’entraide était au rendez-vous. Les cours, les heures de khôlles, le travail en groupe et la disponibilité des professeurs ont fait que je trouvais toujours des réponses à mes questions. Le professeur de physique de seconde année, m’a dit un jour « l’important ce n’est pas de tout faire, mais de faire bien les choses que tu sais faire ». C’est une phrase qui m’a marqué, qui m’a permis de réussir mon concours, et que j’applique encore aujourd’hui !
  • Alexia R. (promo 2014/2016) :
    Mon parcours : Après les deux ans de prépa, j'ai intégré l'ESTIA à Bidart. Une super école d'ingénieurs généraliste qui propose un double diplôme en 3ème année. Je suis donc partie en Angleterre un an afin d'obtenir un Master of Sciences spécialisé dans le Machine Vision et l'intelligence artificielle. Diplômée en 2019, j'ai poursuivi avec une thèse en Sciences de Gestion dont le but est de ramener l'humain au centre de la technologie.
    Mon ressenti : La prépa change une vie, elle donne la rigueur et le dépassement de soi ainsi que des moments forts avec sa promo, d'entraide et de soutien, surtout en TSI. L'arrivée en école d'ingénieurs est plus douce. L'ESTIA propose des cours et des parcours variés qui permettent à chacun de trouver peu à peu son profil et développer ses compétences, le tout au bord de l'océan. Pour ce qui est de la thèse, c'est un projet passionnant à mener pendant trois ans, qui rime avec motivation et un apprentissage quotidien sur son sujet et sur soi-même.
  • Nicolas W. (promo 2012/2014) :
    Mon parcours : Après la prépa je suis entré à l'école d'ingénieur Polytech Annecy-Chambéry. Au bout de quelques mois, j'ai décidé de quitter le cursus ingénieur car j'avais décidé de travailler dans l'environnement. J'ai tout d'abord fait un service civique puis deux ans de plus en CDD comme guide et animateur nature sur le parc national de Port-Cros. J'ai ensuite décidé de recommencer mes études en réalisant un BTS Gestion et Protection de la Nature (Périgueux) suivi d'une Licence professionnelle Analyses et Techniques d'Inventaires de la Biodiversité (Lyon). Aujourd'hui, je suis chargé d'études chiroptérologue (expert en chauves-souris) dans un bureau d'études sur Bordeaux.
    Même si j'ai décidé de quitter le cursus ingénieur, la prépa TSI m'a très bien préparé à tout ce qui allait suivre. Les compétences acquises (matières scientifiques, rigueur, méthodologie de travail,..) m'ont permis d'entrer et de réussir dans des formations réputées et me sont encore très utiles dans mon travail actuel.
  • Alexandre A. (promo 2013/2015) :
    Mon parcours : À la suite des concours, j'ai intégré l'Institut Supérieur de l'Automobile et des Transports en 2015. J'ai suivi un cursus orienté dans le génie mécanique. Au cours de celui-ci, j'ai eu la chance de faire un stage dans laboratoire de recherches au Brésil dans le composite puis un semestre d'études Erasmus dans la faculté de HAN Automotive aux Pays-Bas. Au cours de ma dernière année en école d'ingénieurs, je suis parti en Andalousie faire mon stage de fin d'études dans une écurie de sport automobile. Suite à la remise de mon diplôme, j'ai commencé ma carrière d'ingénieur au sein d'Aston Martin par le biais de la boîte de conseil AKKA, en tant qu'ingénieur projet spécialisé dans les systèmes d'appel d'urgence embarqués. J'ai ensuite été envoyé chez un autre de nos clients, Bentley, en tant qu'ingénieur d'essais réseaux véhicules en 2019. C'est en 2020 que j'ai pris la décision de quitter AKKA pour directement intégrer Lotus en tant qu'ingénieur senior spécialisé dans les systèmes d'appel d'urgences et la connectivité. Poste que j'occupe actuellement.
    Mon ressenti : Concernant mon parcours en CPGE TSI, ce fut pour moi deux années intenses, mais extrêmement enrichissantes qui m'ont ouvert la porte vers de belles opportunités. Elles ont pu paraître difficiles mais la cohésion de notre promo m'a sans aucun doute aidé à réussir. J'ai découvert que le métier d'ingénieur à la clé est très vaste et offre une infinité de possibilités, à la fois techniques et managériales, qui peuvent être aisément liées à nos passions si l'on s'en donne les moyens.
  • Boris D. (promo 2017/2019) :
    Mon parcours : Après la prépa j’ai intégré l’ISEN. En dernière année j’ai effectué un contrat pro pour Sopra Steria. J’ai été diplômé en septembre et je recherche actuellement un travail à l’étranger.
    Mon ressenti : La prépa c’est difficile mais on est très encadrés et la classe s’entraide ce qui permet de tenir bon. L’école est passionnante et beaucoup plus orientée projets et applications concrètes, avec une vie étudiante très riche.
  • Ludovic D. (promo 2014/2016) :
    Mon parcours : Après la classe prépa, j’ai intégré l’école Centrale Paris, maintenant appelée l’école Centrale Supelec. J’ai suivi un cursus généraliste durant mes deux premières années, sachant que la troisième devait se conclure sur une spécialisation (par ailleurs, il y a un très large choix de spécialités, comme par exemple l’aéronautique, l’informatique, la biologie, les mathématiques, la physique et j’en passe...). Ne sachant pas dans quoi me spécialiser, j’ai décidé de faire une année de césure pour me connaitre un peu plus. J’ai commencé un stage de six mois dans les Travaux Publics en tant qu’assistant de conduite de travaux (organisation de chantiers) et j’ai tellement adoré que j’ai décidé de continuer dans cette voie-là. Je suis ensuite partie faire un stage de six mois aux Pays-Bas dans la construction et la mise en place d’une plateforme d’éolienne off-shore. Après ce dernier je suis allé en dernière année d’école d’ingénieurs avec un double cursus spécialisé en BTP et en management de projets complexes. J’ai ensuite effectué mon stage de fin d’étude et mon sujet était de développer des robots pour les intégrer sur les chantiers. Je viens donc tout juste d’être diplômé et je vais commencer aujourd’hui une nouvelle aventure puisque je viens d’être promu en tant que directeur d’une agence de Travaux Publics dans la vallée de l’Ubaye.
    Mon ressenti : A titre personnel, je pense que c’est un peu l’ « école de la vie », la combinaison prépa/école d’ingénieurs apporte une vraie ouverture d’esprit, une capacité de réflexion supérieure, mais aussi une capacité d’adaptation excellente. Un gain sur l’organisation est aussi largement remarquable. Bref, je ne regrette absolument pas d’être passé par cette case prépa pour tout ce qu’elle m’a apporté.
  • Louis B. (2012/2014) :
    Mon parcours : Après la prépa je suis entré en école d'ingénieurs à l’ISEP. J’ai été diplômé en tant qu'ingénieur spécialisé dans les systèmes embarqués. Depuis j’ai travaillé en tant qu’Ingénieur Logiciels, création "from scratch" de plusieurs logiciels notamment dans la sécurité logicielle ferroviaire ou dans le nucléaire. (Client : Framatome, RATP, Grand Paris Express).
    Mon ressenti : La prépa est une bonne expérience (mais parfois douloureuse). On apprend à avoir un esprit méthodique et rigoureux. Toutes les connaissances acquises durant ma prépa m'ont permis d'exposer mes idées de manière claire et structurée. Les connaissances en mathématiques et physiques sont un plus à ne pas négliger. L’école d'ingénieurs est elle aussi une super expérience. Attention à ne pas trop y relâcher le rythme de travail. On sort du monde scientifique pour se former au monde professionnel. Très passionnant d'apprendre les stratégies et les méthodes d'organisation d'un projet (Cycle en V par exemple). Ou encore comment développer et intégrer une application industrielle.
  • Aymeric G. (promo 2016 – 2018) :
    Mon parcours : Après les concours je suis maintenant à l'INSA Haut de France (anciennement ENSIAME) dans la branche mécatronique en dernière année.
    Mon ressenti : la prépa a été une bonne expérience, certes dure mais pleine d’expériences et de convivialité. Les méthodes et la rigueur de prépa sont des atouts que j'utilise encore aujourd'hui. Au niveau de l’école d'ingénieurs je dirais que c'est une autre ambiance de travail, on a plus de place pour la réflexion grâce aux multitudes de projets en tout genre. De plus on a davantage le temps pour retrouver nos loisirs. L'ambiance est toujours présente ! Pour conclure je recommande ce parcours fortement à ceux qui n'ont pas peur des grandes études.
  • Damien L. (promo 2011 – 2013) :
    Mon parcours : après la prépa je suis rentré à l’ENSMM Besançon, diplômé en 2016. J’ai ensuite travaillé en responsable d’affaires en remaniement caténaires (Vinci Energies) à Lyon de 2016 à 2018 puis en responsable d’atelier de production « parachèvement » (Fonderie Vénissieux) à Lyon de 2018 à aujourd’hui.
    Mon ressenti : Dans l’ensemble je garde un très bon souvenir des années prépa, si c’était à refaire je referais la même chose. Cela est dû en partie à la bonne ambiance qu’il y avait dans la promo, de plus certains camarades de prépa sont restés aujourd’hui de très bons amis. Concernant le métier d’ingénieur, j’aime bien ce que je fais (conforme à mes attentes) même si on ne peut pas dire que je sois passionné par mon métier.
  • Martin D. (Promo 2012 /2014) :
    Mon parcours : 2012 - 2014 Prépa TSI, 2014-2017 École ingénieur généraliste ESIGELEC spécialité Énergie et développement durable (pas terrible comme spécialisation), 2018 - 2021 Ingénieur chargé d'affaire chez CMBC Charpentier métallique.
    Mon ressenti : J'ai globalement de très bons souvenirs de mes deux années de TSI, certains des professeurs sont vraiment engagés. On y est bien préparés aux concours. J'ai fait le choix d'une petite école d'ingénieurs, et c'est un choix que je n'ai pas du tout regretté. Cela a permis de réduire la charge de travail pour se consacrer aux sports et à la vie associative par exemple. En sortie d’école j'ai trouvé un job en moins de trois mois et cela fait deux ans que je bosse en tant que conducteur de travaux. Je m’éclate (presque) tous les jours dans mon travail.
  • Alex B. (Promo 2014 /2016) :
    Mon parcours : après la prépa tsi : école des mines de Saint-Étienne avec un semestre à l'université d'Edimbourg. Puis stage chez Eiffage et chez Thalès. Je suis maintenant salarié chez Trialog en tant qu’Ingénieur consultant en mobilité électrique.
    Mon ressenti : Ces deux années de prépas ont été très formatrices pour moi. Elles m'ont appris la rigueur dans le travail ainsi que le raisonnement scientifique. J'ai pour ma part très bien vécu ces deux années. L’enseignement en école d'ingénieurs est dans un sens très différent de celui de la prépa. Le rythme est moins soutenu et les cours moins encadrés.
    Les sujets abordés en cours sont aussi très différents, même dans les matières scientifiques. En prépa les problèmes posés peuvent être complexes mais sont encadrés : ils possèdent tous une solution bien définie. Cela n'est pas le cas en école où des sujets tels que la macro/micro économie, théorie du chaos... sont enseignés. Dans mon métier actuel, je suis consultant en mobilité électrique dans une PME. Je fais en grande partie du technique : de la conception électronique, de la conception de systèmes d'exploitation pour l'embarqué, de la programmation, de la calibration de véhicule électrique etc. Je fais aussi du non-technique : ventes, formations, gestion de projets, etc... Je suis très satisfait de la pluralité de mes projets, et les sujets sur lesquels je travaille sont très intéressants.
  • Aymeric S. (Promo 2013 /2015) :
    Mon parcours : 2013-2015 : Prépa TSI Rouvière, 2015 - 2019 : ECAM Rennes + 2 années en stage de gestion de projet Industriel au sein de l'équipementier automobile Cooper Standard. Diplômé promo en 2019. 2020 : Ingénieur Industriel au sein de « les outils diamantés à Montréal ». 2021 : Directeur Industriel au sein de « les outils diamantés à Montréal ».
    Mon ressenti : La prépa TSI Rouvière m'a surtout permis d'acquérir une rigueur et une autonomie dans mon travail. La pédagogie rythmée et corsetée par les enseignants ainsi que la qualité des cours donnent aux élèves une fondation d'ingénierie solide et importante dans la continuité du cycle d'ingénieur. L'ECAM Rennes : Les années au sein de l'école d'ingénieurs ECAM Rennes ont été les meilleures années de Mon parcours scolaire. En effet, par la qualité des cours, les enseignements, ainsi que la vie associative très importante m'ont permis un épanouissement dans cette école unique. La 1ère année d’école est purement pédagogique pour consolider les acquis de prépa et se termine par un stage de plusieurs mois à l'Etranger. La seconde année est plus orientée projet et entreprise avec un stage ingénieur de trois mois. Ce stage a été prolongé de 12 mois afin que je puisse consacrer une année de formation complète en Gestion de Projet Industriel. Enfin la dernière année est divisée en deux parties. La partie scolaire de six mois selon la spécialité (Génie Industriel me concernant) et la seconde par un stage de 6 mois. Outre la pédagogie, la plus grande force des écoles est la vie associative qui développe des qualités managériales indispensables aux futurs ingénieurs. Aujourd'hui je vis à Montréal en exerçant le métier de directeur Industriel au sein d'une PME dans la fabrication d'outils diamantés. Mon rôle est de concevoir l'architecture de mon entreprise en m'intéressant aux systèmes de production, aux processus, la qualité du produit et aux personnels qui y travaillent. Ma motivation principale dans mon métier est de constamment concilier les aspects humains, économiques et technologiques afin d'en tirer toute son efficacité de l'entreprise.
  • Meulien S. (Promo 2017 /2019) :
    Mon parcours : J'ai passé un Bac STI2D SIN, puis me suis lancé dans la prépa TSI et ai intégré l'ISEN Yncréa Méditerranée de Toulon en spécialisation Software Engineering.
    Mon ressenti : La prépa fut une expérience compliquée mais qui a forgé des liens très forts avec mes autres camarades de promotion. Même si chaque matière ne plaît pas forcément cela permet de se diversifier et de pouvoir être prêt à tout pour la suite. Quant à l'école d'ingénieurs, c'est un vrai plaisir car on s'attaque enfin au milieu qui nous intéresse le plus à plein temps et dans des projets réels.
    Romain G. (Promo 2016/2019)
  • Romain G. (Promo 2016/2019) :
    Mon parcours : Après trois années de prépa (redoublement de la seconde année) je suis aujourd’hui en 4ème année d'école d'ingénieur à EILCO Côte d'Opale.
    Mon ressenti : Après 3 ans de prépa (5/2), je peux dire que cela en vaut vraiment la peine ! La prépa m'a apporté beaucoup pour mon organisation, mon sérieux, mes projets...
  • Xavier D. (Promo 2011/2013) :
    Mon parcours : Après deux ans de prépa j'ai intégré l'ENSAIT en 2013 pour être diplômé en 2016. Ensuite, j'ai travaillé chez ANETT pendant un an et demi en tant qu'adjoint responsable de production pour ensuite faire 6 mois en logistique en tant qu'adjoint responsable logistique. Par la suite, je me suis lancé pour un Volontariat international en entreprise (VIE) en Roumanie pour être Data analyst chez JULBO. Mon contrat s'est terminé récemment, j'ai donc ouvert une boîte en Roumanie freelance, dans laquelle je propose des services de data analyst.
    Mon ressenti : La prépa s’est avérée être bien loin des mauvaises idées que l'on a d’elle, d'être stressante et très difficile. J'ai trouvé le stress en TSI vraiment surmontable et la difficulté relevée mais pas inatteignable si la motivation y est. (Personnellement je me contentais d'un travail constant avec des notes correctes !).
  • William K. (Promo 2014/2016) :
    Mon parcours : Après mes deux ans de prépa : 2016-2017 : 1ère année élève ingénieur généraliste à l’Ecole Nationale Supérieure des Mines de Nancy. Mais démission volontaire car la formation ne correspondait pas à mes attentes. 2017-2020 : Diplôme d’ingénieur de l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers (ENSAM) – spécialité génie électrique en partenariat avec l’ITII PACA – Arts et Métiers ParisTech – Aix-en-Provence Formation d’ingénieur spécialité génie électrique option flux d’énergie. 3 ans d'études en alternance au sein de l'entreprise IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire) sur le site de Cadarache 2020-2021 : Master MSc 2 Management général de l’Institut d’Administration des Entreprises – IAE Aix-Marseille – Puyricard. Master en 1 an suite à l'obtention du diplôme d'ingénieur et en alternance toujours au sein de l'IRSN.
    Mon ressenti : J'ai passé deux très belles années durant cette prépa TSI, mon moral a eu des hauts et des bas mais je m'en suis sorti et j'en suis fier. Si cela était à refaire, je n'hésiterais pas : l'équipe pédagogique est formidable et est impliquée dans le suivi des élèves. Le cadre de vie à l'école était agréable et la cantine était bonne, ce sont des "détails" qui permettent de "mieux vivre" une classe préparatoire. Être ingénieur veut simplement dire que vous êtes cadre. Ce que vous ferez dans votre métier d'ingénieur dépend du secteur d'activité (consulting, nucléaire, industriel, électrique, mécanique, alimentaire, sanitaire, etc....) et de la politique de l'entreprise dans laquelle vous évoluerez. Je vous conseille de bien vous renseigner sur l'école d'ingénieurs que vous souhaitez faire et surtout de la sélectionner en fonction de son domaine de spécialité qui doit correspondre au domaine dans lequel vous voulez travailler. Si aucun domaine précis ne vous attire, visez les écoles généralistes en fonction de votre niveau, de leur prestige et de leur réseau.
  • Nicolas R. (promo 2011/2013) :
    Mon parcours : Après les deux années de TSI j’ai intégré ISEP Paris. Diplômé en 2017 (Petite erreur de parcours : 1 an à Polytech Nice, puis 3 ans à l'ISEP Paris). J'ai fondé l'entreprise Zimple pendant ma dernière année d'école avec un associé, ex Rouvierois lui aussi. Notre entreprise conçoit et fabrique des accessoires permettant de simplifier l'utilisation d'imprimantes 3D, nous sommes basées à Solliès-Pont, près de Toulon. L'entreprise a maintenant 4 ans, et compte 2 salariés + moi + stagiaires.
    Mon ressenti : les années prépa ont été difficiles, mais les connaissances acquises lors de ces années sont très utiles dans le quotidien d'un ingénieur, de nature curieuse, il est plaisant d'avoir appris ces choses qui se révèlent utiles un moment ou un autre lors d'un projet ou lors d'une discussion avec un partenaire. Si c'était à refaire, je le referais pour sûr !
  • Laurent G. (promo 2011/2013) :
    Mon parcours : J’ai fait Supaéro avec une année de césure pour faire deux stages. J’ai depuis intégré une PME aéronautique, Aertec. J’ai commencé à Paris comme ingénieur de production, puis j’ai été muté à Toulouse pour piloter la construction d’une nouvelle usine qui a été inaugurée fin 2018. Depuis je suis commercial grands comptes, et nous sommes en discussion pour que je devienne responsable de la performance industrielle.
    Mon ressenti : La classe prépa me faisait peur, je craignais d’arriver dans une classe où la compétition et la rivalité règnent. Heureux de constater que ce n’est pas le cas, tout est fait pour que l’ambiance soit la plus saine possible. L’équipe enseignante fait son maximum pour tous nous tirer vers le haut et pour que nous donnions le meilleur, et soyons le mieux préparés aux concours qui nous attendent.
  • Danis S. (promo 2016/2018) :
    Mon parcours : Je suis actuellement en dernière année à l'ENSAIT après un séjour écourté en Inde à cause de la covid.
    Mon ressenti : La prépa ça forge ! Il faut s'accrocher et s'affronter soi-même. C'est un passage obligatoire si on veut viser haut. L'école c'est beaucoup plus léger.
  • Nils R. (Promo 2016/2018) :
    Mon parcours : Suite à un bac STI2D option ITEC j’ai intégré la prépa TSI. Je suis ensuite rentré à l’école IPSA en mécanique des structures et matériaux, spécialité structures aéronautiques.
    Mon ressenti : La prépa est très dure, ce n’est pas un mythe, mais il suffit de s’accrocher et de persévérer pour s’en sortir. C’est « un mal pour un bien » en quelque sorte, car une fois en école d’ingénieurs on découvre des cours très intéressants et beaucoup plus appliqués (la spécialisation permet de bien mieux s’épanouir qu’en prépa), ainsi qu’une vie étudiante incroyable dont on peut pleinement profiter.
  • Matthieu K. (Promo 2013/2015) :
    Mon parcours : 3 ans de prépa TSI puis 3ans en école d’ingénieurs à L’ESIX Normandie et 2 stages en entreprise chez Vishay SA à Hyères pour l’instant.
    Mon ressenti : Concernant la prépa, des premières difficultés se sont faites ressentir dans les premiers temps. Puis une fois le rythme pris, et une entraide établie entre les élèves, cela a été une expérience formatrice pour la poursuite de mes études supérieures. La prépa permet d’acquérir une base scientifique que l’on va spécialiser en école d’ingénieur.
  • Antoine B. (Promo 2016/2018) :
    Mon parcours : Je faisais partie de la promo 2018, maintenant je suis en première année à l’UTBM dans la branche mécanique et ergonomie.
    Mon ressenti : les deux années préparatoires ont été un vrai challenge. Suite à ces deux ans j’ai accédé à mon deuxième choix pour la poursuite de mes études. Les deux années de CPGE sont très formatrices mais il y a encore un pas à passer après pour s’adapter au fonctionnement d’une école d’ingénieurs. En effet, pour ma part je trouve que la CPGE est très encadrée, carrée avec un réel suivi contrairement à aujourd’hui (avec en plus toutes les contraintes sanitaires actuelles) où j’ai des difficultés pour m’adapter à un enseignement se rapprochant de l’université, laissant une place très importante au travail personnel.
  • Ioan G. (Promo 2016/2018) :
    Mon parcours : Suite à une STI2D EE, je ne savais pas tout à fait vers quoi m'orienter. J'ai donc préféré me donner le plus d'options possibles. J’ai donc choisi la classe préparatoire qui débouche sur énormément d'opportunités professionnelles, notamment celle d'ingénieur. Après les concours, j'ai été admis à l'école de mes souhaits, IMT Atlantique, une grande école d'ingénieurs généralistes à Brest.
    Mon ressenti : La prépa m’a fait découvrir une soif d'apprendre de par la passion des enseignants. La profondeur des thématiques abordées permet d'assimiler des concepts compliqués mais passionnants. La charge de travail qui en découle est un des challenges que la prépa va vous apprendre à affronter, et cette capacité à faire face au travail est une des qualités indéniables d'un ingénieur ! Le diplôme d'ingénieur demandera encore du travail une fois en école mais vous pourrez profiter d'une vie étudiante très active et les facilités acquises au cours de la classe prépa vous faciliteront la tâche. Le métier d'ingénieur est exigeant : c'est pour ça que la formation l'est aussi ! La prépa est accessible à tout le monde en échange de quelques heures de travail. Mais vous ressortirez avec des souvenirs fantastiques de vos études, de vos débuts en prépa jusqu'à l'obtention du diplôme !